Jeu IndyCar iRacing 2026 : Date de Sortie, Consoles et Fonctionnalités

Le premier jeu IndyCar autonome depuis deux décennies sortira l’année prochaine, comme l’a annoncé iRacing Studios. Cette simulation dédiée est prévue pour la « seconde moitié » de 2026 et sera disponible sur les consoles Xbox Series, PlayStation 5 et sur PC via Steam, y compris le Steam Deck.

Un partenariat stratégique et une sortie très attendue

iRacing a officiellement accueilli IndyCar sur sa plateforme de simulation début 2024, suite à la séparation abrupte de la ligue de course avec Motorsport Games. Beaucoup espéraient que ce partenariat iRacing-IndyCar irait au-delà d’un simple support sur le simulateur PC. Une situation similaire à celle de la NASCAR, qui s’est également associée à iRacing après avoir résilié son contrat d’exclusivité avec Motorsport Games, un accord qui avait donné lieu au désastreux NASCAR 21 Ignition.

Les fonctionnalités prometteuses du jeu IndyCar

Selon le communiqué d’iRacing, le jeu IndyCar 2026 proposera « un mode carrière robuste et à plusieurs niveaux, des pilotes officiels sous licence de la NTT INDYCAR SERIES et de l’INDY NXT by Firestone, ainsi qu’un mode multijoueur en ligne ». Il sera développé par une « équipe dédiée » utilisant une version améliorée du moteur Orontes, qui était la base d’ExoCross, le jeu de course futuriste à la physique riche publié par iRacing l’année dernière.

La croissance et la stratégie d’iRacing Studios

iRacing Studios a considérablement grandi ces dernières années et comprend désormais plusieurs équipes développant différents jeux sur des technologies uniques, au-delà de sa plateforme de simulation PC éponyme. Tony Gardner, président d’iRacing, a déclaré : « Notre titre INDYCAR bénéficiera de cette croissance, car il sera la seule priorité de l’une de ces équipes. Le jeu intégrera également des éléments tels que les assets de voitures et de circuits, la technologie et les caractéristiques de conduite développées pour d’autres produits iRacing Studios. »

Une sortie qui marque l’histoire du jeu vidéo de sport automobile

Le dernier jeu IndyCar contemporain sur consoles était IndyCar Series 2005 de Codemasters pour PlayStation 2 et Xbox, bien qu’il soit sorti en 2004 et que tout son contenu soit basé sur la saison 2003. Espérons que le jeu de l’année prochaine marquera le début d’un rythme de sorties plus régulier pour les années à venir. La principale série de course à roues ouvertes d’Amérique, ainsi que ses fans, le méritent amplement.

Porsche envisage des changements de vitesses virtuels pour ses électriques

Porsche envisage désormais des changements de vitesses simulés dans ses véhicules électriques, un revirement surprenant après s’y être initialement opposée. L’an dernier, un pilote de développement de la marque avait qualifié ces systèmes de « inutiles ». Pourtant, comme l’a démontré la Hyundai Ioniq 5 N, l’absence de valeur pratique n’empêche pas une fonction d’être divertissante et d’enrichir l’expérience de conduite.

Une perspective d’ingénieur qui évolue

La position initiale de Porsche était logique d’un point de vue technique. Un changement de vitesse dans un moteur thermique s’accompagne d’une brève interruption de la puissance, ce qui est un inconvénient à l’accélération. Pour un moteur électrique qui n’en a pas besoin, il semblait raisonnable de simplement l’éviter.

Cependant, lors d’un essai du prototype du Cayenne électrique, Sascha Niesen, responsable de la validation des prototypes Cayenne chez Porsche, a laissé entendre que la marque n’était plus aussi fermement contre cette idée.

Un prototype avec une boîte huit vitesses simulée

Non seulement Porsche est ouverte à l’idée, mais elle a déjà construit un prototype équipé d’une boîte de vitesses huit rapports simulée, accompagnée de bruits de moteur. Il ne s’agit pas de bips synthétiques, mais de sons authentiques, ceux d’un V8 traditionnel, spécifiquement enregistrés à partir d’un Cayenne V8.

« Nous avons enregistré les bruits à la fois pour l’intérieur de l’habitacle et pour l’extérieur, le son sortant de l’échappement », a expliqué Niesen. Adapter ce son aux moteurs électriques, qui tournent à des régimes très différents, nécessite un réglage fin pour moduler le son sur une plage de régime beaucoup plus large.

« Des changements de vitesses virtuels » nécessitant du matériel

Niesen a confirmé que les « changements de vitesses virtuels » étaient à l’étude. Contrairement à une simple mise à jour logicielle, leur implémentation nécessiterait du matériel supplémentaire, comme des palettes au volant, absentes sur le prototype actuel du Cayenne EV.

Porsche a bel et bien construit un véhicule concept avec ces palettes. Niesen, qui l’a conduit en mars, avoue avoir été sceptique au départ, craignant un gadget artificiel conçu par des « geeks du logiciel ». Mais le projet était en réalité mené par des ingénieurs expérimentés ayant travaillé sur les boîtes automatiques à double embrayage et à convertisseur de couple de la marque.

Une sensation authentique qui surprend

« Ils savent ce qu’ils font », a-t-il affirmé. « Ils ont réussi à lui donner la sensation d’une vraie boîte automatique à convertisseur de couple. Je n’ai pas pu faire la différence. » Le résultat l’a convaincu, dépassant toutes ses attentes.

Une option pour l’engagement du conducteur, pas une obligation

Niesen reconnaît que tous les clients ne réclament pas cette fonctionnalité, surtout dans l’univers du VE. Cependant, il existe un marché pour ce niveau d’engagement au volant. La valeur ajoutée réside dans le fait qu’elle peut être activée ou désactivée à volonté.

« C’est la clé », souligne-t-il. « Il faut donner au client la possibilité d’être plus engagé, mais dans un VE, cela ne peut pas être obligatoire. » Il fait le parallèle avec les transmissions à variation continue (CVT) qui ont introduit des rapports simulés pour une sensation plus naturelle, sans que ce soit nécessaire.

Souvent, dans la bataille entre les besoins et les envies, ce sont les envies qui l’emportent. Porsche semble avoir compris que l’émotion de conduite pouvait aussi passer par une bonne simulation.

Fin de production de la Nissan GT-R R35 : l’icône prend sa retraite après 18 ans

La légendaire Nissan GT-R R35 a officiellement conclu sa production au Japon après une carrière exceptionnelle de 18 ans. Cette icône de la performance, assez âgée pour obtenir son diplôme de fin d’études, tire sa révérence, du moins pour le moment.

L’actualité automobile en bref

Alors que Stellantis a écopé d’une amende de 190,6 millions de dollars pour non-respect des normes américaines d’économie de carburant, le groupe Mercedes-Benz surprend en développant un nouveau moteur V8, malgré sa stratégie électrique affichée.

Performances et technologies

Du côté des records, la Chine s’impose avec la BYD Yangwang U9 Track Edition, désormais EV de production la plus rapide au monde, ayant atteint 472,36 km/h. Dans un registre différent, Stellantis aurait mis en pause son programme de conduite autonome de niveau 3, jugé trop coûteux et peu viable commercialement.

Design et compétition

BMW, quant à elle, annonce réduire la taille des calandres de ses voitures de course pour améliorer leur aérodynamique et réduire la traînée, une évolution technique purement fonctionnelle.

La Corvette 1974 de Zora Arkus-Duntov enfin préservée après un travail minutieux

Préservée après des années de travail minutieux, la Chevrolet Corvette personnelle de Zora Arkus-Duntov, le « Père de la Corvette », est désormais un joyau exposé par le National Corvette Museum. Cet homme est une figure absolument cruciale de l’histoire de la sportive américaine, responsable de certains de ses plus grands moments.

Une C3 chargée d’histoire et de particularités

Zora Arkus-Duntov acheta cette Corvette C3 neuve en 1974, un an seulement avant de quitter General Motors. Équipée d’un moteur 454 et d’une transmission automatique à trois vitesses, elle dispose de la direction assistée, de freins power, de la climatisation et de jantes en aluminium. Si elle était initialement argentée, elle fut repeinte en vert avant d’arborer sa livrée actuelle bleue deux tons. On y trouve aussi des touches personnelles, comme les initiales « ZAD » peintes à la main sur les portières.

Un travail de préservation et non de restauration

Le département Collections et Préservation du musée a entrepris un projet colossal pour stabiliser la voiture dans son état actuel. Plutôt qu’une restauration classique, la caisse fut séparée du châssis pour nettoyer, stabiliser et préserver chaque petit composant dans ses moindres détails. Un soin extrême a été apporté pour conserver tout le caractère et l’âme du véhicule, comme l’accoudoir en cuir usé par le bras gauche de Zora lui-même.

Des détails techniques uniques et fascinants

Un examen attentif révèle des détails uniques. Les jantes montées sur la voiture n’étaient que des prototypes à l’époque et ne sont devenues disponibles au public qu’en 1976. On trouve également une commande Holley montée sur la console permettant de basculer le mélange de carburant entre riche et pauvre. Étonnamment, il s’agit de la seule et unique Corvette que Zora Arkus-Duntov ait jamais possédée.

Une pièce maîtresse pour l’éternité

Après avoir roulé des années durant, Zora vendit la voiture en 1989. Elle fut ensuite offerte au National Corvette Museum en son honneur après son décès en 1996. La Corvette sera la pièce maîtresse de la nouvelle galerie d’exposition du Corvette Hall of Fame du musée. Elle est la première d’une série de projets de préservation approfondie destinés à préserver les plus grandes Corvette pour les générations futures.

La plus grande collection McLaren au monde acquise par un seul acheteur anonyme

La plus grande collection McLaren au monde a été intégralement acquise par un seul et unique acheteur, dont l’identité reste confidentielle. Cette vente exceptionnelle, qui concernait l’ensemble des véhicules rassemblés par Mansour Ojjeh, un passionné et actionnaire historique de l’écurie de Formule 1, a été orchestrée par le courtier automobile Tom Hartley Jnr.

Une vente historique pour une collection légendaire

Décédé en juin 2021, Mansour Ojjeh laisse derrière lui un héritage immense dans le monde des affaires et de la course automobile. Son implication majeure chez McLaren lui a permis de constituer la plus impressionnante collection privée de supercars et de monoplaces de la marque à l’emblème papaya. Contrairement à la vente très médiatisée de la collection Ecclestone (646 millions de dollars pour 69 F1), le prix final et l’identité de l’acquéreur n’ont pas été dévoilés. Tom Hartley a confirmé que les 20 McLaren ont été achetées ensemble, garantissant ainsi que la collection restera unie.

Les particularités uniques de la collection Ojjeh

Cette collection est unique pour plusieurs raisons. Chaque voiture représente le tout dernier châssis produit de son modèle spécifique, et non le premier ou un numéro symbolique. Presque toutes étaient peintes dans une couleur exclusive, le « Yquem », une teinte orange qui fut par la suite surnommée « Mansour Orange » et qui n’était proposée à aucun autre client.

Des joyaux préservés

Autre particularité : la quasi-totalité des voitures n’ont jamais roulé. Seules deux exceptions notables existent : une McLaren F1, célèbre pour avoir été pilotée par Lewis Hamilton lors de tours de piste offerts aux enfants Ojjeh, et une P1 GTR, accidentée sur le Circuit des Americas mais depuis parfaitement restaurée et aperçue récemment au McLaren Technology Center.

Cette vente, qualifiée d’« historique » par Tom Hartley sur Instagram, honore la mémoire d’un homme légendaire et son héritage fait de vision, de passion et d’excellence automobile.

Porsche 911 Prototype Mystérieux : Le Retour de la Légendaire Slantnose ?

Ce mystérieux prototype de Porsche 911 a tout d’une Slantnose. Il n’est plus vraiment un secret que Porsche procède actuellement au rafraîchissement progressif de la série 911 « 992 ». Récemment, plusieurs prototypes à différents stades de développement ont été aperçus, mais celui-ci est particulièrement intrigant.

Une base inhabituelle et une silhouette évocatrice

Au premier coup d’œil, on devine qu’il y a bien plus ici que de simples phares factices et des éléments camouflés. La première grande surprise : cette mule d’essai n’utilise pas une carrosserie de 992, mais bien celle de l’ancienne génération 991. Pourquoi Porsche utiliserait-elle une base obsolète ? La réponse se trouve peut-être sous ce capot au design surprenant, évoquant certaines Nissan.

L’indice des marques déposées : Flachbau

Il y a quelques mois, Porsche a déposé les marques « Flachbau » et « Flachbau RS ». La traduction ? « Slantnose », ou « nez plat » en français. Cette signature design, iconique dans les années 80, caractérisait les 911 avec des phares pop-up intégrés au capot, offrant une silhouette profilée et radicale.

Vers une version routière et légale ?

Entre ce nez suggestif et l’imposant arrière, il se passe décidément quelque chose. Porsche a déjà revisité le style Slantnose récemment avec l’hommage 935, réservé à la piste en 2019. Mais ici, l’utilisation d’une GT2 RS homologuée pour la route laisse supposer qu’il pourrait s’agir du développement d’une véritable version de série, une possibilité excitante bien que non confirmée.

L’emploi d’une carrosserie de précédente génération suggère cependant qu’il faudra probablement patienter avant de voir un produit final. Peut-être cette future Slantnose servira-t-elle de modèle d’adieu à la 992 le moment venu ?

Monterey Car Week : l’évolution d’un phénomène automobile mondial

Monterey Car Week est devenu un véritable sport de spectacle. Cet événement unique au monde rassemble les voitures les plus rares, les plus rapides et les plus exclusives de la planète, créant une concentration de richesse et de passion automobile qui défie l’entendement.

L’évolution historique de Pebble Beach vers Monterey Car Week

Tout a commencé en 1950 avec le Pebble Beach Concours d’Elegance, un élégant salon sur pelouse présentant des voitures classiques et de collection. Au fil des décennies, cet événement prestigieux a donné naissance à de multiples manifestations satellites comme le Rolex Monterey Motorsports Reunion, Motorlux et The Quail, transformant une journée en une semaine complète dédiée à l’automobile.

Le Quail : le nouveau salon automobile de luxe

Depuis sa création en 2003, The Quail s’est imposé comme le salon automobile incontournable pour les marques de luxe et les constructeurs sur mesure. Des dévoilements exclusifs comme le Guntherwerks Project F-26 (1000 chevaux) ou la Ringbrothers’ Octavia (2,5 millions de dollars) y attirent une clientèle internationale fortunée.

Accessibilité et contre-culture : le Concours d’Lemons

Face à l’exclusivité croissante, le Concours d’Lemons offre depuis 16 ans une alternative gratuite et décalée célébrant les « pires » voitures du monde automobile. Cet événement accueille les échecs commerciaux et les créations originales, démocratisant l’accès à la culture automobile pour tous les passionnés.

L’impact des réseaux sociaux sur la culture automobile

Monterey Car Week reflète l’évolution de la passion automobile à l’ère digitale. Des centaines de jeunes spotteurs armés de smartphones envahissent les rues, transformant l’expérience en spectacle permanent. Comme le note Doug DeMuro, ancien spotteur devenu influenceur automobile : « Les jeunes sont formidables, mais ils sont bien plus nombreux maintenant ».

Des expériences alternatives et accessibles

Face aux prix prohibitifs, des initiatives comme Camp Overcrest proposent des solutions abordables (695$ pour toute la semaine) pour dormir près des événements. Cette communauté privilégie l’expérience driving authentique et les connexions humaines plutôt que le luxe ostentatoire.

L’avenir diversifié de la culture automobile

Monterey Car Week illustre parfaitement la diversification de la passion automobile. Entre événements exclusifs et initiatives accessibles, entre tradition et modernité, la culture automobile ne se meurt pas – elle se réinvente pour une nouvelle génération de passionnés.

Troy Lake, tuner diesel emprisonné : le Wyoming demande sa grâce à Trump

Imprisonné pour avoir désactivé des systèmes antipollution, le tuner diesel Troy Lake, propriétaire d’Elite Diesel, reçoit un soutien politique de poids. Plus de 40 représentants de l’État du Wyoming plaident en faveur d’une grâce présidentielle de Donald Trump, contestant la légitimité de sa condamnation.

Une condamnation fédérale sous le feu des critiques

Troy Lake a plaidé coupable pour conspiration en vue de violer le Clean Air Act. Le gouvernement fédéral l’accuse d’avoir désactivé les systèmes de contrôle des émissions sur « des centaines » de poids lourds à travers le pays. Sa peine s’élève à 12 mois et un jour de prison, ainsi qu’une amende de 52 500 dollars.

Le soutien massif des élus du Wyoming

Chip Neiman, président de la Chambre des représentants du Wyoming, a adressé une lettre au procureur général des États-Unis, co-signée par plus de 40 de ses collègues. Il y dénonce une « poursuite injuste » par l’administration Biden et une justice « instrumentalisée » à des fins politiques. La lettre défend les actions de Lake, arguant que les systèmes antipollution causent des pannes moteur, des incendies et des coûts de réparation exorbitants pour les camionneurs et les petites entreprises.

Une affaire aux ramifications politiques

Les partisans de Lake pointent du doigt le revirement de l’EPA sous l’ère Trump, où l’administrateur Lee Zeldin s’emploie à défaire les régulations sur les émissions. Ils estiment que la condamnation de Lake était motivée par des considérations politiques et non par la justice, le juge ayant selon eux voulu « faire un exemple ».

Une pratique répandue dans l’industrie

L’affaire Lake n’est pas isolée. De nombreux tuners diesel ont écopé de lourdes amendes et de peines criminelles pour violation du Clean Air Act. Le retour de Trump à la Maison Blanche avait été accueilli avec optimisme par la filière, qui espérait un assouplissement des régulations.

McLaren envisage une production hors du Royaume-Uni pour ses futures voitures

Une production en dehors du Royaume-Uni n’est pas exclue pour McLaren. Quelques semaines après que Lotus ait envisagé de quitter son site historique de Hethel, le nouveau PDG du constructeur britannique de supercars, Nick Collins, a laissé entendre que bien que Woking resterait le cœur historique de la marque, construire des véhicules à l’étranger était une possibilité, si cela s’avérait pertinent.

Stratégie et restructuration chez McLaren

Rencontré lors de la Monterey Car Week, Nick Collins dirige désormais McLaren Automotive ainsi que McLaren Group Holdings, suite à la fusion avec le startup électrique Forseven et une restructuration ayant entraîné la suppression d’environ 500 postes. Face à des stocks excédentaires chez les concessionnaires, la première décision fut de réduire volontairement les volumes de production pour réaligner l’offre sur la demande et préserver la valeur résiduelle des véhicules.

Woking, l’âme géographique préservée

Malgré ces changements, une constante demeure : la fabrication des supercars se poursuivra au « siège spirituel de l’entreprise », les McLaren Technology and Production Centers de Woking. Collins a affirmé que ce site resterait la base opérationnelle « pour une très, très longue période ». L’objectif est d’y maintenir un niveau de production optimal, garantissant une qualité de classe mondiale sans compromis.

Quel avenir pour une production à l’étranger ?

Le PDG a cependant indiqué, sans entrer dans les détails, que « certaines choses pourraient avoir du sens à être construites dans d’autres endroits », en fonction des capacités optimales de Woking. La question centrale est désormais de savoir quels modèles pourraient être concernés. Le SUV mythique évoqué depuis des années semble être le candidat le plus évident, tout comme les futurs modèles entièrement électriques, un domaine où l’expertise de Forseven pourrait être mise à profit.

Offre Lowe’s : Outil Bosch Gratuit avec l’Achat de Batteries | Guide 2024

Si vous avez déjà pensé à tester un outil électroportatif Bosch, cette offre est pour vous. Et si vous utilisez déjà l’écosystème de batteries Bosch, c’est une évidence. À l’occasion de ses soldes, le magasin de bricolage Lowe’s offre un outil électrique gratuit (à choisir parmi 11 options) lors de l’achat d’un pack de deux batteries Bosch 18 volts 4 Ah au lithium.

L’offre : Achetez un pack de batteries, choisissez votre outil gratuit

L’opération promotionnelle est simple : achetez le Pack de deux batteries Bosch 18-Volt 4 Ah Lithium et recevez gratuitement l’un des 11 outils suivants :

Liste des outils Bosch gratuits disponibles

  • Clé à choc sans fil 3/8″ à vitesse variable (valeur : 219$)
  • Raboteuse sans fil 3,25″ 4A 18V (valeur : 229$)
  • Scie à ruban portable 4,8″ (sans batterie) (valeur : 399$)
  • Souffleur de chantier 18V (valeur : 119$)
  • Multi-tool oscillant sans fil 4A à vitesse variable (valeur : 159$)
  • Scie circulaire sans fil 6-1/2″ Brushless (valeur : 219$)
  • Outil rotatif de coupe sans fil 1 vitesse (sans batterie) (valeur : 159$)
  • Clé à choc sans fil 1/2″ Brushless à vitesse variable (valeur : 199$)
  • Scie sauteuse sans fil Brushless Keyless à vitesse variable (valeur : 169$)
  • Visseuse-dévisseuse sans fil Brushless Xtend (valeur : 159$)
  • Défonceuse fixe sans fil 1/4″ Brushless 4A (valeur : 229$)

Une offre étendue aux batteries haute capacité

Lowe’s propose également la même offre avec d’autres packs batteries. En achetant le kit batterie lithium-ion 8 Ah + chargeur ou le pack de deux batteries Profactor 18V 8 Ah, vous pouvez également prétendre à un outil gratuit, cette fois-ci en le choisissant parmi une sélection de 7 modèles.

La qualité et la compatibilité Bosch

La réputation de robustesse et de longévité des outils Bosch n’est plus à faire. De nombreux modèles, comme les perceuses-visseuses sans fil, sont réputés pour durer de nombreuses années. Les avis agrégés sur Lowes.com confirment cette impression de qualité pour la plupart des outils concernés par cette offre.

Un avantage majeur : les batteries Bosch AMPShare sont compatibles avec les outils d’une longue liste d’autres marques, offrant une grande flexibilité, même si les marques américaines courantes comme DeWalt ou Milwaukee ne sont pas incluses dans cette compatibilité.