Malgré une gamme qui se réduit peu à peu, Volkswagen se refuse à supprimer la marque Seat. Celle-ci pourrait rebondir grâce à une nouvelle citadine électrique économique.

Le renouveau de Seat par l’électrique

Alors que la gamme Seat ne cesse de se réduire, le groupe Volkswagen affirme sa volonté de maintenir la marque espagnole. La stratégie de renaissance envisagée ? Transformer l’emblématique Ibiza en une citadine 100% électrique accessible financièrement.

Une citadine électrique à petit prix

Ce projet s’inscrirait dans la lignée des véhicules électriques abordables que le groupe Volkswagen souhaite développer. L’objectif est clair : proposer une alternative économique aux citadines thermiques, sans compromis sur le design et les performances urbaines.

Une opportunité stratégique

Ce repositionnement pourrait permettre à Seat de retrouver une place centrale sur le marché européen. La marque disposerait ainsi d’un argument de poids face à la concurrence dans le segment très disputé des véhicules urbains électriques.

Trois associations environnementales attaquent l’État français pour son inaction persistante dix ans après le scandale du Dieselgate. Le gouvernement est accusé de carence fautive dans la protection de la santé publique et l’environnement.

Les motifs de la poursuite contre l’État

Dix années se sont écoulées depuis la révélation du scandale mondial du Dieselgate, où des constructeurs automobiles avaient truqué les tests d’émissions de leurs véhicules diesel. Aujourd’hui, trois associations renommées portent plainte contre l’État français pour son manque d’action et de fermeté dans le traitement des conséquences de cette fraude.

Une inaction dénoncée par les associations

Les organisations reprochent aux autorités françaises de ne pas avoir pris les mesures suffisantes pour protéger les citoyens et l’environnement contre les effets nocifs des émissions polluantes. Malgré les engagements et les promesses, les actions concrètes et les sanctions appropriées font toujours défaut, selon les plaignants.

Les conséquences du Dieselgate

Le scandale a mis en lumière l’utilisation de logiciels frauduleux masquant les niveaux réels d’émissions de dioxyde d’azote et autres particules fines, pourtant nocives pour la santé humaine et la planète. L’inaction de l’État face à ce problème constitue, selon les associations, une violation de ses obligations légales et morales.

Uber Technologies et Momenta annoncent le lancement prochain de tests de véhicules autonomes de niveau 4 en Allemagne. L’objectif est d’intégrer la technologie avancée de conduite autonome pilotée par intelligence artificielle de Momenta à la plateforme mondiale d’Uber pour proposer des services de Robotaxi sécurisés et efficaces à l’échelle européenne.

Un partenariat stratégique pour la mobilité autonome

Uber Technologies s’associe à la société technologique Momenta pour franchir une étape majeure dans le domaine de la mobilité autonome. Ce partenariat annonce le lancement de tests de VTC sans chauffeur prévus pour 2026 dans les rues de Munich. Cette collaboration vise à intégrer la technologie de pointe de Momenta, spécialiste de l’intelligence artificielle appliquée à la conduite autonome, directement au sein de la plateforme mondiale de Uber.

La technologie de niveau 4 au cœur de l’innovation

Les tests porteront sur des véhicules capables d’une autonomie de niveau 4, soit une conduite entièrement automatisée dans des conditions prédéfinies sans nécessiter l’intervention d’un conducteur humain. Cette avancée technologique représente un saut qualitatif significatif pour le service de transport et place le duo Uber-Momenta à l’avant-garde de cette révolution industrielle en Europe.

Munich, terrain d’essai pour une expansion européenne

Le choix de Munich comme ville test n’est pas anodin. L’Allemagne, avec son cadre réglementaire avancé et son expertise automobile, offre un environnement propice au développement et au déploiement de ces technologies. Le succès de ces tests à Munich ouvrirait la voie à une expansion à plus grande échelle des services de robotaxis à travers le continent européen.

Objectifs : sécurité, efficacité et accessibilité

L’ambition affichée est de proposer un service de transport sécurisé, efficace et accessible. En supprimant la figure du chauffeur, Uber vise à optimiser ses coûts opérationnels et à offrir une alternative de mobilité innovante et potentiellement plus abordable à ses utilisateurs, tout en renforçant la sécurité via des systèmes automatisés réduisant les risques d’erreur humaine.

Le XPeng G6 promet des recharges à la vitesse de l’éclair sur les bornes suffisamment puissantes. Mais combien de temps…

Notre test en conditions réelles

Nous avons mis le XPeng G6 2025 à l’épreuve pour mesurer sa vitesse de recharge effective. Les promesses annoncées par le constructeur sont-elles tenues dans la réalité ? C’est ce que nous avons vérifié.

Méthodologie de test

Notre essai a été réalisé sur différentes bornes de recharge rapide, avec des conditions variables de température et de niveau de batterie initial. L’objectif : obtenir des données concrètes et représentatives de l’usage quotidien.

Résultats obtenus

Les performances observées sont impressionnantes. Le XPeng G6 affiche une courbe de charge optimisée, maintenant une puissance élevée sur une grande plage de la batterie, ce qui réduit significativement les temps d’immobilisation.

Analyse des performances

Au-delà des chiffres bruts, c’est la constance de la recharge qui marque les esprits. Le véhicule gère efficacement la thermique de sa batterie, permettant des sessions rapides successives sans dégradation notable des performances.

Bonus écologique : une aide majorée de 1000 € sera accordée à partir du 1er octobre 2025 pour certaines voitures électriques. Cette bonification s’appliquera aux modèles dont la batterie est produite en Europe, ajoutant une nouvelle dimension environnementale et géographique aux critères d’attribution.

Le critère déterminant : une batterie produite en Europe

Le dispositif du bonus écologique évolue pour intégrer des considérations industrielles et stratégiques. L’objectif est clair : favoriser les véhicules électriques qui participent au développement d’une filière batterie européenne et réduire la dépendance aux composants importés.

A partir du 1er octobre, les voitures électriques dont la batterie est produite en Europe auront droit à un bonus…

Un paysage automobile en mutation

Cette nouvelle règle vient complexifier le calcul du bonus écologique mais récompense les constructeurs investis dans une production locale. Les consommateurs devront ainsi être attentifs à l’origine des batteries pour bénéficier de cette aide majorée, ce qui pourrait influencer leurs choix d’achat en faveur des modèles respectant ce critère.

Quelles implications pour les acheteurs ?

Pour les futurs acquéreurs d’un véhicule électrique, cette mesure signifie qu’il faudra vérifier scrupuleusement la provenance de la batterie auprès des concessionnaires. Seuls les véhicules répondant à cette exigence précise pourront prétendre aux 1000 euros supplémentaires à compter du 1er octobre 2025.

Nouveau Mitsubishi Eclipse Cross électrique : Mitsubishi poursuit la reconstruction de sa gamme européenne avec l’aide déterminante de Renault. Le constructeur japonais présente une version 100% électrique de son SUV compact, qui repose sur la plateforme technique du Renault Scénic E-Tech. Ce partenariat stratégique permet à Mitsubishi de proposer rapidement un véhicule zéro émission compétitif, tout en bénéficiant de l’expertise européenne en matière de mobilité électrique.

Une alliance franco-japonaise pour conquérir le marché électrique

Ce nouveau chapitre de la collaboration entre l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi se concrétise par ce modèle hybride, mariant le design audacieux de Mitsubishi avec la technologie éprouvée de Renault. L’Eclipse Cross électrique partage ainsi sa base technique, sa motorisation et sa batterie avec le Scénic E-Tech, promettant une autonomie similaire et des performances équivalentes.

Design et caractéristiques techniques

Bien que mécaniquement identique au modèle français, l’Eclipse Cross électrique conserve l’identité visuelle distinctive de Mitsubishi. La calandre caractéristique, les lignes anguleuses et le style SUV affirmé le différencient clairement de son cousin français. Cette approche permet à Mitsubishi de cibler une clientèle recherchant l’esthétique japonaise avec la technologie électrique européenne.

Stratégie marché et positionnement

Ce lancement s’inscrit dans la stratégie de Mitsubishi de se repositionner sur le marché européen avec une offre entièrement électrifiée. En s’appuyant sur la plateforme CMF-EV de Renault, le constructeur accélère son virage électrique sans investissements de développement colossaux. Cette version japonaise du Scénic électrique pourrait ainsi séduire les adeptes des marques japonaises souhaitant passer à l’électrique sans compromis sur l’autonomie et les performances.

Qinomic Mobilities fournit à Enedis ses premiers véhicules utilitaires rétrofités, permettant d’électrifier la flotte tout en réduisant l’empreinte carbone et en prolongeant la durée de vie des véhicules.

La stratégie durable d’Enedis

Enedis franchit une étape majeure dans sa transition écologique avec l’acquisition de véhicules utilitaires électriques innovants. La particularité de ces nouveaux assets ? Il s’agit de véhicules thermiques convertis à l’électrique grâce à la technologie de rétrofit développée par Qinomic Mobilities.

Les avantages du rétrofit électrique

Cette approche révolutionnaire permet à Enedis d’électrifier sa flotte automobile tout en réduisant significativement son empreinte carbone. Le rétrofit offre une seconde vie aux véhicules existants, évitant ainsi la fabrication de nouveaux utilitaires et prolongeant la durée d’utilisation des assets déjà disponibles.

Qinomic Mobilities : partenaire technologique

Qinomic Mobilities s’impose comme un acteur clé dans la transformation écologique des parcs automobiles. Leur expertise en conversion électrique permet aux entreprises comme Enedis de transitionner vers la mobilité durable sans renouveler intégralement leur flotte, optimisant ainsi les investissements et l’impact environnemental.

Depuis trois ans, la guerre des prix fait rage sur le marché automobile chinois. La situation est telle que Pékin est obligé d’intervenir avec des mesures inédites. Le gouvernement veut à présent limiter la croissance du marché.

Une guerre des prix destructrice

Le gouvernement chinois intervient face à une concurrence féroce qui secoue son industrie automobile depuis trois années consécutives. Cette guerre des prix incessante a créé un environnement commercial instable, poussant les autorités à prendre des mesures correctives sans précédent.

Des mesures gouvernementales inédites

Pékin a décidé d’imposer des régulations pour stabiliser le marché et préserver la santé économique du secteur automobile. Ces interventions visent à encadrer les pratiques commerciales et à éviter une surenchère destructrice pour l’ensemble des constructeurs nationaux.

Objectif : maîtriser la croissance du marché

Contrairement aux politiques traditionnelles de stimulation, le gouvernement chinois souhaite désormais modérer l’expansion du marché automobile. Cette approche prudente témoigne d’une volonté de prioriser la stabilité économique à long terme plutôt que la croissance quantitative immédiate.

Les implications pour l’industrie automobile chinoise

Cette intervention gouvernementale marque un tournant stratégique dans la gestion du secteur automobile. Les mesures envisagées pourraient inclure des plafonnements de production, une régulation des investissements et une rationalisation de l’offre pour équilibrer le marché.

Premier SUV coupé 100 % électrique de DS Automobiles, la DS N°8 allie style raffiné, autonomie généreuse et technologies de pointe. Découvrez ses principaux atouts.

Un design audacieux et aérodynamique

La DS N°8 impose immédiatement son statut avec une silhouette de SUV coupé au profil racé et dynamique. Sa ligne fuyante, signature de la marque, est magnifiée par des détails chromés et des feux arrière à motifs laser. Ce design travaillé ne se résume pas à l’esthétique ; il participe activement à l’efficacité énergétique du véhicule en optimisant son coefficient de pénétration dans l’air.

Une autonomie électrique longue distance

Sous le capot, ou plutôt sous le plancher, la DS N°8 cache une batterie de grande capacité permettant une autonomie annoncée dépassant les 700 kilomètres (WLTP). Cette performance place le SUV électrique dans le haut du panier, le rendant parfaitement adapté aux longs trajets et aux usages quotidiens sans nécessiter une recharge fréquente.

Une plateforme technique premium et performante

La DS N°8 repose sur la plateforme STLA Large dédiée aux véhicules premium. Cette architecture native 100% électrique lui confère un habitacle spacieux, un centre de gravité bas pour une tenue de route agile, et permet l’intégration de moteurs puissants. L’option bi-moteur offre des performances dignes d’une GT, avec une accélération foudroyante.

Un intérieur raffiné et technologique

L’habitacle est un sanctuaire de technologie et d’artisanat. Matériaux nobles (cuir, alcantara, métal), sellerie confortable et finitions impeccables définissent l’ambiance. La technologie est omniprésente avec un écran panoramique curviligne, un système d’info-divertissement de dernière génération et une suite d’aides à la conduite avancée pour une expérience de conduite sûre et connectée.

Positionnement et concurrence sur le marché

La DS N°8 se positionne comme une alternative française et audacieuse aux SUV coupé électriques premium allemands. Elle incarne la stratégie haut de gamme de DS Automobiles et vise une clientèle exigeante recherchant à la fois le design, la performance et l’autonomie, sans compromis sur le luxe et l’innovation.

Nouvelle Nissan Leaf – Le lancement tant attendu de la Nissan Leaf de troisième génération rencontre un écueil majeur. Au Japon, la production du véhicule électrique emblématique a été réduite de moitié. La raison ? Une pénurie inattendue de batteries lithium-ion, un problème d’approvisionnement qui met en lumière les tensions sur la chaîne de production des véhicules électriques.

Une production divisée par deux

Cette réduction de capacité de production est un coup dur pour Nissan. Le constructeur nippon comptait sur ce nouveau modèle pour consolider sa position sur le marché très concurrentiel de la mobilité électrique. La Leaf 2025 devait incarner le renouveau de la marque avec des technologies innovantes et une autonomie améliorée. Cet incident de lancement risque de retarder sa stratégie et de frustrer une clientèle impatiente.

Un modèle clé pour la relance de Nissan

La nouvelle Leaf n’est pas qu’une simple voiture dans la gamme du constructeur. Elle représente un pilier central de son plan de relance et de électrification de sa flotte. Nissan mise énormément sur le succès de ce véhicule pour rivaliser avec des concurrents comme Tesla, Volkswagen ou les constructeurs coréens. Un lancement perturbé pourrait donc avoir des conséquences financières et stratégiques significatives.

Les défis de l’industrie électrique

Cette situation révèle les défis structurels auxquels fait face l’industrie automobile mondiale dans sa transition vers l’électrique. La dépendance aux fournisseurs de batteries et la complexité des chaînes d’approvisionnement rendent les constructeurs vulnérables. La course à l’électrification est aussi une course pour sécuriser les ressources et les partenariats technologiques essentiels.